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Issue du protocole expérimental SPDY de Google, avec HTTP/2, le but est d'obtenir une réduction du temps de chargement d’une page de 50%.
Un gain visible dès l'activation d'HTTP/2 sur le serveur, une opération potentiellement réalisable en moins de 5 minutes (selon votre serveur web).
Dans cet article nous verrons comment les caractéristiques de HTTP/2 permettent d'optimiser les performances d'un site...
Sources :
https://developers.google.com/web/fundamentals/performance/http2
https://http2-explained.haxx.se/fr/summary
Une meilleure utilisation du protocol TCP (Transmission Control Protocol) :
HTTP/2 propose également une nouvelle fonctionnalité qui permet d'envoyer au client des ressources nécessaires au traitement de la page. On appelle ça le Server Push.
Contrairement aux autres caractéristiques du protocole, le Server Push implique quelques évolutions applicatives.
Le Server Push :
HTTP/3 est basé sur le protocol QUIC. Le protocole QUIC étant inconnu des principaux firewalls dans le monde (notamment nos box Internet), et pour être certain que celui-ci puisse être adopté sans problème et rapidement, il a été décidé pour HTTP/3 d'encapsuler QUIC dans UDP.
Source : https://www.bortzmeyer.org/files/capitole-libre-2019-quic-pour-impression.pdf
Dans le prochain article, nous conclurons notre série sur la performance Web par l'utilisation d'un outil vous permettra de visualiser vos actions d'optimisations, et de vous comparer à vos concurrents.